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Il y a le peu de gnack du moment pour voler le couteau entre les dents, on va
pas dire le contraire, mais c'est vrai aussi qu'ils envoient parfois dans "du gros". Et il faut pouvoir voler
suffisamment vite pour ne pas avoir à voler seul, ça commence par là... Un brin
stressant quand ce n'est pas quelque chose de naturel.
Seule la manche des Vosges n'a pas vu d'hélicoptère venir (1 secours, 1 arbre -
c'est peu !). Sur les compètes à chaque fois un hélico + 1 ou 2 pilote aux arbre
+ 1,2, voire 3 secours. en moyenne plus de 3% d'incident/accident... ça calme.
Dans l'immédiat, pour ma pomme, la plaisanterie se termine à Bisanne, donc, au
moins pour quelques temps.
Probalement privé de festivités Championnats de France à Chamonix: une fermeture
côté relief, la voile qui engage instantanément, le pilote qui ne suit pas dans
la rotation (position couché-dos probablement déterminante), et un tour de
twist. Le temps de détwister... la voile plonge et je me retrouve dans le
pendule de l'abattée à percuter plein pot les sapins. Pompiers, C.H d'Alberville
et disjonction achromion-clavicullaire,
même si pas trop sévère: au seul stade 1. Je baisse: celle de l'autre épaule
il y a plusieurs années était
au stade 3 ;-)
Enfin bon... faut se dire qu'il y avait quand même des sapins (même si
clairsemés, celui-là fut dévalé jusqu'en bas) : on évite le pire une fois de plus. |
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