Copie warning Superbitoune (le petit fer olivier)

Copie du 6/01/2011 à Son Excellence FFVLo-Présidentielle Benintende
du warning adressé à Superbitoune (le petit fer olivier) le 30/12/2010...

------------------------ Original Message -----------------------------

From: Olive Montel

To: jc.benintende@ffvl.fr ; j.benintende@free.fr ; president@ffvl.fr

Sent: Thursday, January 06, 2011 11:19 AM

Subject: >>>> Transmis (le butor automobiliste et volant olivier fer) >>>> Superbitoune : petit rafraîchissement de mémoire en date du 30/12/2010....

Monsieur Benintende,

Fin avril 2009, mes démêlées d'avec la ffvl (ou plutôt d'avec vous et quelques collègues à vous, à ramener aux 30.000 licenciés ffvl) ont commencé suite à ce message préventif et purement privé que j'avais adressé au dénommé "fer olivier" (accessoirement libériste ffvl de son état). Correspondance privée qui en elle-même n'avait rien à voir avec la ffvl et rien à voir ni avec le dénommé Kevin Bonnenfant, ni avec vous-même Monsieur Benintende. Ce en dépit du procès en sorcellerie pour soit disant crime de lèse-majesté "anti-ffvl" qui s'en suivit et que vous me fites dans la foulée. Sans cet épisode déclencheur d'origine (mon courriel d'avril 2009 et l'instrumentalisation à des fins d'ingérence dans ma vie privée que vous en fîtes), l'engrenage, la cabale et le lynchage procéduriers qui s'en sont suivis en 2009/2010 ne se seraient jamais produits (...).

Petite piqûre de rappel : ce message privé d'origine de ma part avait pour objet de mettre en garde de façon purement privée le dénommé "fer olivier", au cas où nous nous croiserions. En l'occurrence sur une compétition ffvl, mais cette démarche bien compréhensible aurait été la même en toute autre circonstance (compétition de pétanque, de rotin, de peinture sur soie, de macramé ou autre). Ce message privé n'impliquait donc évidemment en rien la ffvl, en dépit de l'instrumentalisation hâtive, procédurière, arbitraire et expéditive que vous en fîtes à des fins de diabolisation "anti-Montel". Pour mémoire, ce "fer olivier" s'était rendu coupable d'une agression automobile inqualifiable en me percutant et en me renversant alors que je circulais sur 2 roues à moto (automne 2007, dans l'Essonne), ce à coup de pare-choc en restant lâchement planqué derrière son tableau de bord de R19 immatriculée à l'époque 5698ZC78.

En dépit du procès d'intention catastrophiste et caricatural qu'en firent le dénommé K.Bonnenfant puis vous-même (en été et en septembre 2009), ma missive en date de fin avril 2009 adressée à cet individu "fer olivier" n'avait rien contre la sphère libériste ni contre la ffvl, et entendait encore moins attenter à la bonne tenue des fameuses festivités compétitionnesques "ffvl" programmée en mai sur Dormillouse. Je vous rappelle encore une fois que je participe (participais) à ce genre de festivités "compétition" depuis des lustres (8 ans), sans aucun problème particulier pour quiconque en ce qui me concerne (...).

Il est clair que si j'avais croisé cet individu "fer olivier" sur Dormillouse ou ailleurs et en toute autre circonstance, il y aurait forcément eu une explication : c'est là chose humaine et bien compréhensible, eu égard à la gravité inqualifiable de ses actes. Pour mémoire, en automne 2007, je m'en étais tiré par miracle sans dommage corporel important, en dépit d'un vol plané par dessus le véhicule de cet individu. Une vitesse de 25/30 km/h pour chacun des deux véhicules en présence, ça donne un impact à 50 km/h minimum, ce qui est déjà énorme en réalité (par exemple, lors de mon accident de vol en décembre 2009 au Cap, j'ai percuté l'immeuble fatal à environ 50 km/h. Résultat des courses : colonne vertébrale, bassin et col du fémur fracassés - ndlr). Pour mémoire aussi : à l'époque à l'automne 2007, j'avais porté plainte mais je n'ai jamais eu de nouvelle de notre brillantissime système judiciaire français (...). Si la chose vous interpelle (puisque vous avez jugé opportun de faire irruption dans ma vie privée), trace de ce dépot de plainte est disponible au commissariat de police du XIVième arrondissement de Paris.

Je n'épilogue pas, Monsieur Benintende. Si vous aviez (vous et messieurs Landreau, Bonnenfant etc...) un minimum de bon sens, vous comprendriez de quoi il retourne, vous auriez capté à l'époque pourquoi j'avais adressé cette missive au dénommé "fer olivier", et vous auriez compris le ton qui était celui de la missive en question. Sur ce point, je pense notamment à ce cher JC.Landreau, votre homme de main "spécial commission de discipline 1ère instance", lequel est officier de police judiciaire dans le "civil", si mes sources sont exactes (...). Si Monsieur Landreau s'estime choqué par quelque chose, la logique voudrait, me semble-t-il, que ce soit (en tant qu'OPJ) par l'inqualifiable agression automobile dont j'ai été victime à l'automne 2007 (...).

C'est pourquoi je vous adresse ici copie du tout dernier message que j'ai adressé à cet individu "fer olivier". Ce message date du 30 décembre 2010. Si je vous mets ici en copie de cette aimable prose, c'est pour tenter de vous faire comprendre de quoi il retourne et pour bien vous faire comprendre que je ne peux en rien regretter mon courriel de l'époque (avril 2009). A l'époque, Monsieur Bonnenfant K. avait jugé opportun de qualifier "à chaud" MA missive d'acte "inqualifiable" (sic). Mais en vérité, à l'époque j'avais tout simplement réagi comme quelqu'un de normalement constitué. Et je laisse Monsieur Bonnenfant devant ses (ir)responsabilités "à chaud" de l'époque, en l'invitant à se demander comment il réagirait si lui-même avait été l'objet d'une telle lâcheté et d'une telle agression automobile (ndlr - cette question vaut aussi pour vous, Monsieur Benintende).

Je vous d'agrééer, Monsieur Bénintende, l'expression de mes salutations libéristes les plus distinguées.

Olivier M,
votre aimable tête de Turc,
plus de 20 ans de ffvl,
bientôt 2 ans de cabale procédurière

Aujourd'hui le 30 on a eu très brièvement à faire au téléphone (0682747382) à la petite lopette Superbitoune, alias le minable petit "fer olivier". Histoire de lui rafraîchir un peu la mémoire et de lui dire qu'on n'oublie pas ses lâches actes de butor automobiliste planqué derrière son pare-choc de R19 (automne 2007).

Le ôôôh combien courageux Superbitoune s'imagine peut-être que, le temps passant, les choses se diluent... Il se trompe lourdement.

A la limite, à présent, il n'y a plus aucune interdiction champlannesque pour quiconque. Un jour ou l'autre, il y aura donc une explication, c'est évident. Ce quelqu'en soit la forme et quel qu'en soit le lieu précis. Ce jour-là évidemment, je ne serai plus sur 2 roues à moto, et Superbitoune ne pourra plus rester planqué derrière le pare-choc de sa bagnole de chez Renault...

Dans l'immédiat, Superbitoune ("fer olivier") ne craint pas grand chose car je ne suis toujours pas remis des séquelles de mon grave carton de vol en Afrique du Sud en décembre 2009. Mais Superbitoune ("fer olivier") ne perd rien pour attendre. On garde ça bien au chaud dans un coin. On n'est pas pressé. Il y a certains plats qui se mangent froid.

De toute façon, il est clair qu'on ne court pas grand risque avec un tel spécimen, compte tenu de son niveau de "bravoure"... De ce point de vue il est clair que Superbitoune ("fer olivier") a de toutes petites roubignoles, par définition... Dans ce registre peu enviable, Superbitoune ("fer olivier") est bon pour le Guiness Book !

D'ailleurs, pour l'anecdote c'est assez marrant : dès qu'on a évoqué au téléphone avec Superbitoune ("fer olivier") l'épisode du mec qui percute et renverse une moto en restant planqué derrière son tableau de bord de bagnole...
... eh bin il a tout de suite "percuté". Je veux dire par là qu'il a tout de suite compris... Il est vrai que pour ce qui est de "percuter", il s'y connait, Superbitoune ("fer olivier") !

Alors, au téléphone évidemment, Superbitoune ("fer olivier") a fait l'effort de pouvoir faire semblant de rigoler, histoire de se donner une certaine contenance et histoire de sauver la face. Mais il rigolait jaune Superbitoune ("fer olivier"). Il rigolait jaune. Ça se sentait. Ça s'entendait. Il y a des fois où ça se sent. Il y a des individus chez qui ça s'entend... Notamment chez les petites lopettes de son espèce.