Courriel en aparté au sieur Bonnenfant Kevin - en date de début février 2011...
(dans ma grande mansuétude, ce courriel n'est ici parachuté qu'en aparté)
 


 

----- Original Message -----

To : kevin.bonnenfant@ffvl.fr, comp_pp@ffvl.fr, k.bonnenfant@ffvl.fr, kevin.bonnenfant@free.fr
Cc : "Le GO de la Blanche BBayon" <yonb11@gmail.com>
Subject : 
>>> Mise en copie à Monsieur Bonnenfant Kevin - pour petit rafraîchissement de mémoire (...)

Monsieur Kevin, Monsieur Bon Enfant,                                                                                                                                                                                [Version online = http://minilien.fr/a0lnhn]

 

 

Fin avril 2009 vous avez jugé opportun de m’adresser un mail en statuant de façon expéditive et sentencieuse sur un courriel privé que j’avais envoyé à un individu privé au sujet d’un contentieux privé ne vous concernant en rien ni vous ni la FFVL.

 

A cette occasion, vous vous permettiez de qualifier de façon lapidaire et superficielle mon courriel « d’inqualifiable » (sic), sans aucun visu des tenants et des aboutissants, sans aucune prise en compte du contexte et d’éventuels facteurs explicatifs. En réalité et en dépit de son caractère certes virulent, mon courriel de l’époque n’avait vraiment rien « d’inqualifiable » (selon votre douce sémantique), bien au contraire. Au demeurant, je vous avais répondu pour vous exposer brièvement la chose et pour justifier de façon circonstanciée le caractère assez virulent de mon aimable prose. Mais vous n’aviez pas même jugé opportun de réagir à mes informations (…).

 

C’est pourquoi il me semble logique et humain de vous transmettre ici copie de ma récente prose adressée au dénommé Landreau JC (Copie Benintende JC) - ndlr – « JC » dans les deux cas, un peu comme si ces deux personnages se prenaient, quelque part, pour les Jésus-Christs de la fédé).

Vous trouverez cette copie ici en infra.

 

Deux ans plus tard, même dans la clinique où je réside à l’occasion de la 5-ième intervention chirurgicale consécutive à mon grave carton en Afrique du Sud il y a 13 mois, je n’oublie pas, Monsieur Bonnenfant, que c’est vous qui à l’époque aviez joué les pseudo-justiciers en transmettant mon courriel de présumé « délinquant fédéral »  – avec quelques probables commentaires de votre cru à kelkes Kollègues à vous de la ffvl, Son Excellence Benintende comprise. Je n’oublie pas non plus que ce procès en sorcellerie initial fut :

-- à l’origine de la cabale procédurière très zélée intentée à mon encontre par son Excellence Benintende,

-- à l’origine de l’engrenage punitif entretenu par l’appareil pseudo-judiciaire fédéral

-- à l’origine des sanctions & mesures diverses et variées décrétées sur mon dos (abus de pouvoir et vice de forme compris) – mon exclusion de la fédé après 20 années passées à la ffvl constituant le « pompon  final » (ou la « solution finale versus JCB », c’est selon).

 

C’est la raison pour laquelle il me semble encore plus normal de vous mettre en copie de cette prose, dans la mesure où elle comprend un courrier RAR adressé dernièrement à la Gendarmerie de Longjumeau (91) au sujet de l’épisode d’origine expliquant (et même justifiant) à 120% mon courriel de l’époque à la lopette nommée « fer olivier » - accessoirement ressortissante elle aussi de la ffvl. Au demeurant, si ce spécimen « fer olivier » avait émargé à la Fédération Française de Pétanque Marseillaise (F.F.P.M), à la Fédération Française de Boules Lyonnaises (F.F.B.L) ou à la Fédération Auvergnate de Rotin et Macramé (F.A.R.M), mon courriel eût été le même.

 

Cher Kevin, cher Bonnenfant : je me permettrais volontiers de vous suggérer, si un cas semblable venait à se représenter (« on ne sait jamais, quelqu’un peut venir », hein ? :->)  de réfléchir un peu (dans votre tête) et de faire l’effort de tenir compte un tant soit peu des tenants et des aboutissants, histoire de ne pas diaboliser inutilement X ou Y de façon unilatérale et hâtive, avec toutes les conséquences que ça peut avoir à terme, par exemple en termes d’injustice sportivo-fédérale. Ici je me contente prudemment de vous vouvoyer, compte tenu du contexte. Mais je n’oublie pas vous avoir tutoyé par le passé (pratique usuelle dans le microcosme volatilesque) et vous avoir même trouvé plutôt sympathique (comme quoi…), les quelques fois où j’ai pu vous croiser sur telle B-compète ou sur telle A-compépète. Ce qui, d’une certaine façon, me conduit à trouver cet épisode « avril 2009 » encore plus navrant et encore plus singulier.

 

Bien à vous,

Olivier Montel,
tête de Turc préférée de Son Excellence Fédérale & Omnipotente Benintende (S.E.F.O.B)


PS – pour éventuellement plus de clarté, vous trouverez l’ensemble de ce message en p.j au format RTF.

Cc : le dénommé Bayon Benoit, GO "La Blanche" de l'époque, qui à l'époque géra ~peu ou prou avec la même finesse (max ?) que vous....

 

 


======  Copie ci-dessous de la prose mentionnée, adressée au Sire et O.P.J Landreau JC  =====>

 

----------- Original Message ----------------

From: "Olive Montel" <oliviermontel at orange point fr>

To: "O.P.J ffvl de choc" <jc.landreau@free.fr>; "O.P.J ffvl de choc" <jc.landreau@ffvl.fr>

Cc: "Son Exellence Benintende" <j.benintende@free.fr>; "Son Exellence Benintende" <president@ffvl.fr>; "Son Exellence Benintende" <jc.benintende@ffvl.fr>

ent: Tuesday, February 01, 2011 7:18 PM

Subject: Monsieur Landreau (OPJ) : un aimable mutisme...

 

Monsieur Landreau,

Sauf erreur, vous avez du recevoir récemment copie d'un courrier de ma part adressé à Monsieur Benintende.

Ce courrier contenait lui-même copie d'une lettre adressée il y a peu à vos collègues gendarmes de Longjumeau (91). Je dis "vos collègues gendarmes", car en tant qu'OPJ, les gendarmes sont bien, quelque part, vos collègues, n'est-il point ?

Ma lettre exposait de façon circonstanciée la nature et l'origine du contentieux qui m'oppose à l'individu "fer olivier" - contentieux expliquant et JUSTIFIANT  le fameux courriel de mon cru en date d'avril 2009.

Vous savez, ce fameux courriel ayant déclenché vos affres ffvl sur mon dos, votre cabale ffvl sur mon dos, vos procédureries ffvl sur mon dos , votre acharnement ffvl sur mon dos, vos multiples sanctions d'exclusion sur mon dos, et in-fine même, cerise sur le gâteau : vos mesures pitoyables de privation de couverture d'assurance sur mon dos (à retardement, janvier 2010, après mon grave accident en Af'Sud).

Selon mes sources, vous exercez donc la douce "profession" d'OPJ, Monsieur Landreau. En tant "qu'OPJ" distingué, on pourrait penser que mon récent courrier eût du vous interpeler (...). En tant qu'OPJ, il devrait être sinon de votre ressort du moins dans vos cordes de situer quels sont les tenants et les aboutissants de cette affaire d'origine, où est le vrai fautif, en quoi mon fameux courriel ne vous regardait pas ni vous ni la ffvl ni Bayon ni Bonnenfant & Cie, en quoi vos "griefs" à mon encontre (votre fameux chef d'accusation numéro 1 d'origine) étaient déplacés, erratiques et injustes (doux euphémismes), et en quoi mon contentieux d'origine avec cet individu "fer olivier" était d'une gravité toute autre que ce fameux courriel qui vous conduit à tant vouloir me diaboliser...

Monsieur Landreau, vous fûtes très disert dans votre épique compte-rendu procédurier d'octobre 2009 [CR de la comm. de discipline phagocytée avant l'heure par votre commanditaire, son Excellence Benintende - ndlr].

Mais là, bizarrement, quand on vous met en copie de ce genre de courrier adressé à vos collègues gendarmes de Longjumeau...  il n'y a plus personne.  SILENCE RADIO.
Pas un mot. Vous ne jugez pas nécessaire de réagir. Motus et bouche cousue. Mutisme pudique et de bon aloi (...).

Ce contraste est saisissant, Monsieur Landreau. Saisissant. En tous cas pour moi.

Bien à vous,
et brillantes compètes à la Réunion :-D.

Olive Montel,
votre tête de Turc ffvl aimable et préférée, à vous et à votre Chef Monsieur Benintende

(ici mis en copie, transparence montélienne oblige).
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 http://humeurs-olivem.blogspot.com/
 http://volatile.parigot.free.fr

 http://photos.parawing.net/gallery/olive

 
http://montelol.fototime.com/ACCUEIL
 
http://www.facebook.com/olive.montel

Envoyé de mon iPhone

 

 

===  Copie ci-dessous de la lettre RAR  adressée en janvier 2010 aux gendarmes de Longjumeau  

          [ copie de cette lettre adressé aux Sires Benintende et Landreau ]                                       =====>

 

 

Olivier Montel                                                                                                           Paris, le 19/01/2011

Tél. 06.83.01.98.22

Courrier RAR

è  à la Gendarmerie de Longjumeau,

13 av Mar Leclerc   91160   LONGJUMEAU

Tél. 01.69.79.50.50

 

copie

 

 

 

Bonjour,

 

 

Je pense que vous avez cherché à me joindre par téléphone le 16/1/2011.  Le numéro appelant était le 0169795050.

Mais bizarrement, vous ne m'avez pas laissé de message et vous ne m'avez pas rappelé (???).

 

Je pense savoir à priori de qui il retourne et de quelle affaire il s’agit. C’est à priori un individu nommé « fer olivier », avec qui j’ai un grave contentieux depuis 2005.

 

A l’automne 2007 ou 2006 (octobre ou novembre, je ne sais plus bien), cet individu « fer olivier » m’a volontairement percuté et renversé avec le pare-choc de sa voiture Renault R19 de couleur vert sombre immatriculée à l’époque 5698ZC78, alors que je circulais sur 2 roues sur la commune de Champlan, avec ma moto GS 1100 de marque BMW immatriculée 101QQV75 et de couleur rouge.

 

Quels que soient les motifs de son acte et le contentieux qui pouvait nous opposer (je n’épilogue même pas sur ce point – NDLR), cet acte est d’une lâcheté et d’une gravité inqualifiable. Hormis - sauf erreur - qu'on n'est en théorie pas sensé se faire soi-même justice, on n'est encore moins sensé le faire de pareille manière. Un peu par miracle, je n’avais pas été sérieusement blessé. Mais j’avais fait un vol plané par-dessus son véhicule et j’aurais aussi bien pu me blesser gravement. Nous roulions à environ 30 km/h, ce qui donne un choc frontal d’environ 60 km/h et peut déjà se révéler gravissime - ce n'est pas à vous que je vais l'apprendre.

 

A l’époque, cet individu « fer olivier » avait cherché à faire passer ses « exploits » pour un "banal" accident de la route. Et, cerise sur le gâteau : un accident dont j’aurais été fautif, par surcroit !  Un peu comme si j'avais des propensions à aller me fracasser inopinément contre un véhicule circulant en sens inverse, alors que ça fait 30 ans que je conduis en moto sans réel accident !!!  Quelques semaines plus tard, j’avais ainsi reçu de sa compagnie d’assurance une cocasse demande de remboursement correspondant aux dommages survenus sur son pare-choc et sur son capot avant de R19 :  le pompon, cet individu est décidément un aimable plaisantin  !

 

Comme il se doit, j’avais répondu à son assureur en expliquant de façon "appropriée" la vraie version de ce  « vrai faux accident » (…). Sur le papier, ce vil personnage "fer olivier" est donc non seulement passible d'action en justice pour agression automobile caractérisée, mais aussi passible d'action en justice pour faux en écriture à l'assurance.

Je dis ça… c'est dans une vie idéale, si notre magnifique système judiciaire fonctionnait normalement, c'est à dire de façon efficace et équitable (…).

 

A l’époque (novembre ou décembre 2006 ou 2007, donc), j’étais allé porter plainte pour cette agression automobile lamentable, auprès du commissariat de Police de Paris 14 (du fait de ma domiciliation de l’époque). J’avais tout expliqué en détail. Malheureusement, notre brillant système judiciaire français est ainsi fait que je n’ai jamais eu la moindre nouvelle de quiconque : même pas convoqué au commissariat pour me faire dire ce qui en était ni pour quelles raisons aucune suite n’avait été donnée à cette agression inqualifiable. Et par surcroît, aucune trace de mon dépôt de plainte, aucune copie ni aucun numéro d'enregistrement ne m'ayant été communiqués à l'époque (…).

 

Du coup (si je puis dire en pensant au coup de pare-choc commis par ce "fer olivier"…) et pour être franc, c'est depuis lors un épisode que je rumine de temps à autre. Quoi de plus normal ?  Je n’ai jamais eu l’occasion de croiser à nouveau cet énergumène « fer olivier », et au demeurant je n'ai jamais non plus vraiment fait ce qu'il fallait pour (ou pas encore ?). Ce qui m’écœure et ce qui m’ulcère le plus, c’est la couardise pitoyable dont il faut faire preuve pour commettre un tel acte, en restant lâchement planqué derrière le tableau de bord de son véhicule (…).

 

Passez-moi l’expression s’il vous plait, mais il faut vraiment ne pas avoir grand-chose dans le slip pour en arriver là.

Il va sans dire que si je venais à croiser ce veule spécimen, il y aurait forcément une explication.

Ça serait difficilement évitable :  c’est humain et c'est assez compréhensible.

Accessoirement, si une suite judiciaire logique et équitable avait été donnée en temps voulu à cet épisode lamentable, je ne serais peut-être plus dans de telles (in)dispositions d’esprit et je serais sans doute passé à autre chose.

Bref, si justice et police avaient fait leur travail (de mon point de vue, en tant que contribuable lambda), on n'en serait pas là 4 ans plus tard.

 

 

Si je vous raconte tout ça aujourd'hui, c’est parce qu’à priori je pense avoir compris presqu’à coup sûr la raison qui vous amène à tenter de me joindre :  fin décembre 2010, j’ai joint cet individu « fer olivier » par téléphone (ndlr : du numéro Provençal que vous avez utilisé en première main, le 0490619003) puis par courriel, pour lui rappeler que je ne les oublie pas : ni lui, ni l’acte méprisable d’aimable lopette dont il s’est rendu coupable à l’époque. Ces messages, je ne m'en cache pas. Car il m'est impossible d'occulter cet épisode (sans parler des frais occasionnés à l'époque sur ma moto, je passe les détails).

 

A cette occasion, je lui ai répété ce que je lui ai déjà dit deux ou trois fois par le passé (notamment en mars 2009, date à laquelle j’ai appris que nous avions des « chances » non négligeables de nous croiser à l’occasion d’une compétition de parapente dans les Alpes) : à savoir que si nous en venions à nous croiser, je ne serais évidemment plus (vulnérable) en moto, et qu’il ne pourrait plus perpétrer ce genre de minable agression en restant lâchement planqué derrière son tableau de bord de bagnole (…).  Il faudrait alors qu’il gère autrement…

 

Je n'ai rien dit ni écrit de plus. Donc inutile de diaboliser la chose ni de monter ça en épingle comme si c'était de quelconques « menaces » à proprement parler. Je précise ce point car à l'occasion de son (très probable) passage chez vous à Longjumeau, cet individu « fer olivier »  n’aura sans doute pas manqué de chercher à me faire passer pour un « dangereux psychopathe » en décrivant mes messages comme autant de « menaces physiques » et autres atteintes potentielles à l'Ordre Public, bien entendu (…). Alors que si psychopathe il y a, c'est bien lui ("psychopathe automobile"). En vérité. Plus prosaïquement, prenez plutôt ces messages comme de simples mises en garde.

Mises en garde qui en l’espèce sont bien naturelles et bien compréhensibles, malheureusement.

Mettez-vous deux secondes à ma place, et vous comprendrez j’en suis certain…

 

Pour être honnête, je navigue aujourd’hui entre deux sentiments :

à  d’un côté j’aspirerais à la tranquillité et j’aimerais ne plus me prendre la tête avec ces histoires scabreuses ni m’attirer de problèmes supplémentaires quels qu’ils soient,

à  d’un autre côté je n’arrive bien sur pas à faire l’impasse sur les agissements minables dont s’est rendu coupable cet individu « fer olivier », ni sur l’extrême dangerosité potentielle de l’agression dont j’ai été victime à l’époque (sans même parler des frais occasionnés chez mon concessionnaire moto…).

 

C’est donc malheureux à dire, je le sais, mais quelque part j’assume à 100%  tel ou tel message que j’aurais pu adresser à cet aimable automobiliste (ou à son proche entourage), dans un passé plus ou moins récent. Messages qui constituent bien peu de chose en réalité par rapport aux agissements de ce minable petit adepte du pare-choc transformé en arme "anti-motard"…

 

Si je vous parle de tout ça, ce n’est pas de gaieté de cœur.

Je trouve vraiment navrant et je trouverais injuste et assez inique que ce soit moi qui sois, par-dessus le marché, inquiété au plan procédurier pour ces histoires saumâtres : en l’occurrence par ce que vous qualifiiez ce jour du 16/1 « d’enquête judiciaire » en téléphonant chez les miens, dans le Vaucluse (…) début janvier 2011.

 

De façon plus accessoire, je suis un peu surpris que vous me contactiez de Longjumeau. Classiquement, en pareil cas, on est directement convoqué par les services de Police ou de Gendarmerie correspondant à son lieu de résidence (…). Après quoi, c'est probablement ce qui va se produire. J'irai alors m'expliquer sans aucun problème, car il est peu de dire que j'ai la conscience tranquille.

 

Pour conclure : je vous demande d’ores et déjà de conserver mon courrier, de le joindre à votre dossier et de bien vouloir l'adresser le cas échéant à vos collègues en gestion de mon lieu de résidence.

Par avance je vous en remercie.

 

Veuillez ne pas trop vous formaliser pour le ton parfois un peu virulent de la présente.

Comprenez bien que "virulent"… on le serait à moins (…).

 

Avec l’expression de mes meilleures salutations, même si j’aurais évidemment préféré pouvoir me dispenser de cet exercice littéral assez peu attrayant et plutôt délicat.

 

O.Montel