Chère di bernardette, alias "le petit nicola sondologue des Baronnies",

Je dois vous confesser que j'ai pas mal rigolé, suite à vos facéties policio-procédurières en date de septembre 2009. Et je pense même pouvoir dire qu'au commissariat du 14ème sur Paris je ne fus pas le seul à me fendre la pêche.   Vos pitreries prouvent si besoin était que, de nos jours, les gens qui n'ont rien d'autre à faire portent plainte pour un oui ou pour un non. Il faut en conclure que vous êtes pas mal désœuvré, et que le vol libre ne suffit décidément pas à meubler votre emploi du temps…   Votre propension à aller pleurnicher et jouer les chochottes pour peanut's dans un commissariat gravesonnien (ou une gendarmerie gravesonniennne) sont en fait assez dérisoires, pour ne pas dire pathétiques. J'ai bien entendu raconté à cette occasion le contexte qui fait que vous en êtes arrivé à pareilles clowneries.

 J'ai par exemple raconté dans quelles conditions lamentables, expéditives et arbitraires j'avais été évincé de ce petit forum baronniard où je postais régulièrement et sans aucun problème depuis des années. J'ai raconté en quoi consiste le racisme anti-parigot et les ulcères d'estomac des petits zèbres qui ne supportent pas qu'on vienne "empiéter" sur leur herbe baronniarde ("Les Imbéciles Heureux qui sont nés quelque part", comme disait Georges Brassens).

J'ai aussi raconté à quel niveau consternant vous vous étiez abaissé début 2009, en tentant de façon assez besogneuse d'orchestrer votre espèce de petit sondage ex-post pour tenter de justifier vos agissements "après-coup"… De même que j'ai raconté que vous le fîtes alors même que je ne pouvais plus répondre sur le forum en question (ce qui est particulièrement lâche et prouvent que vous n'avez vraiment pas les couilles carrées). Enfin, j'ai aussi précisé que personne n'avait répondu à votre fameux petit sondage policier (tout au plus 3 pelés 2 tondus), ce qui indiquait clairement que quasi-personne n'avait rien contre moi et que tout le monde se contrefouttait de vos âneries et autre fixettes "anti-Montel".  Et après tout ça, vous osez encore essayer de vous faire passer pour une triste "victime" ?

Il m'a fallu aussi spécifier que les adresses emails dont vous m'affublez ne sont que pure affabulation, que certains des messages que vous m'imputez ne sont que pure intox et que vous ne manquez décidément pas d'imagination. Quand on ne sait pas trop comment se justifier sur le fond, on invente des gros bobards, c'est bien connu (…).

Pour conclure, je vous ferais la même remarque qu'à votre amie et congénère (ici en un seul mot) "cabagni", alias "berchouette la cabagnette".  Tout cela prouve à quel point vous vous êtes vexé, face à l'ironie et à la satire qu'on vous a opposées. C'est très symptomatique. Comme dit l'adage bien connu : "Il n'y a que la vérité qui blesse".

Constater à quel point certains spécimens font perdre leur temps aux fonctionnaires de police et de gendarmerie, c'est quand même assez navrant.
Quel gâchis économique et social...

Soyez forte.

Grosses bises ma caille.